Les comptoirs d'hermès
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 [Concours] Les nouvelles de la sanssaint

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4 participants
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Mélyan
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Mélyan


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MessageSujet: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeLun 15 Oct - 17:20

Voici un petit concours sympas organisé par le Duché d'Aarkonie :

http://forums.wow-europe.com/thread.html?topicId=1153348855&sid=2

Citation :
*Un crieur publique arpente les capitales mais a un peu trop bu à la fête des brasseurs, plusieurs parchemins en main dans toutes les langues mais spécifiquement écrit en phonétique pour bien se faire comprendre.*

"Oyez ! Oyez braves gens !

La Sanssaint arrivant d'ici quelques jours, il était grand temps que nous en parlions !
Non point autour d'un verre ou d'un feu de camp, certainement pas mais au travers d'histoires que vous, conteurs, nous raconteriez.

Vous aimez écrire des nouvelles qui font peur ? Mettre en scène les terreurs enfantines enfouies au fond de votre grenier ? Alors, cela tombe plutôt bien !

Nous vous proposons de rédiger librement un conte ou une nouvelle qui saura nous faire frémir d'horreur. Monstres, sorcières, malédictions... Nous vous laissons l'inspiration et un jury décernera le ou les histoires les plus originales qui auront su les faire trembler, et bien entendu un prix sera remis lors d'une soirée dont la date vous sera donnée ultérieurement.

Pour se faire les histoires sont à envoyer par missive à la sénatrice Bérénice Théodora du Duché Aarkonie, qui accusera réception du tout et fera parvenir des copies au jury mobilisé. Elles sont à envoyer au plus tard, le 27 octobre à minuit.

Cela fait court dîtes vous ? Sachez seulement que les peurs n'attendent pas pour vous saisir, elles !

Sur ce, A vos plumes et bonne chance !"


***HRP***

Les textes sont à envoyer par mail à : saturnun@gmail.com
Le titre du message doit comporter l'intitulé de votre texte et la mention sanssaint comme suit :
[Sanssaint] Titre de la nouvelle.

La nouvelle devra être en pièce jointe sous format Word
Elle comportera minimum deux pages à cinq pages word maximum, sachant que c'est surtout la qualité qui prime plutôt que la quantité Wink
Police times new roman en taille 12, orthographe soignée et ensemble aéré.
Dans le mail, me préciser votre pseudo IG, votre niveau, guilde et quelle faction.


Et sur, bon courage et bonne chance aux participants !
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Mélyan
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Mélyan


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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeJeu 18 Oct - 14:44

Coucou, j'ai décidé de participer voici ce que j'ai écris, c'est un jet dont je suis assez content et que je vais laisser murir deux ou trois jours avant de donner une version finale.
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Mélyan
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Mélyan


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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeJeu 18 Oct - 14:44

Les neufs gardiens.

La forêt changeait, tout changeait, signe de l’arrivée d’une peur sans nom, il était devenu dangereux de s’attarder sous la voute des arbres après la nuit, j’aurais du m’en souvenir …

Je n’y avait pas prêté attention, concentré dans ma tache, la nuit était tombé sans prévenir, le froid s'infiltrait entre les arbres, quand mon esprit toucha à nouveau terre il était trop tard. Je ramassais rapidement mes affaires, ma hache et mon fourre tout et me préparais une nouvelle fois à courir dans les bois.
Un hurlement se fit entendre, encore lointain mais qui résonnait dans toute la forêt, après un court silence ce fut tout un concert, ils se répondaient les uns aux autres.

Paniqué je me mis à courir, le chemin je le connaissais par coeur mais le temps était compté. Je courrais, sans me retourner, butant plusieurs fois sur des racines enfouit sous la mince couche de feuille et invisible dans la pénombre. Je courrais , bientôt trempé de sueur, je me sentais rejoins, ils n'étaient plus loin.

Deux yeux à gauche, je les avais vues, je ne rêvais pas le souffle rauque je me retournais, ils étaient partout, je chutais violemment sur le sol mes pieds étaient pris dans des ronces, en essayant de m'extirper je me griffais et déchirais mes habits, de nombreux sillons vermeil commencèrent à perler sur mes jambes.

Je courrais encore, plusieurs minutes plus tard, totalement perdu et désorienté. Je me rappel juste être tombé une nouvelle fois, et épuisé, avec le goût du sang dans la bouche, j'attendais qu'ils arrivent et me tue.

Une heure peut être je ne sais pas, mais le temps ce déroula à une lenteur affreuse qui rendait l'arrivée de la mort encore plus insoutenable. Puis comme je ne mourrais pas je me risquais à relever la tête.

C'était une clairière plongée dans la pale lueur de la lune, j'étais tombé à son auré. Et mon regard ce porta immédiatement sur elles.
Neuf statues de pierre étaient disposées en cercle au centre. Toujours couché au sol je me relevais doucement, en jetant un regard vers les sous bois. Aucun bruit ni signe n'en sortait. Pourtant je n'avais pas rêvé.
Titubant je m'approchais de la pierre la plus proche. Elle était vieille lavé par le temps, on aurait dit un simulacre humain avec une esquisse de corps, des bras le long du torse et une tête difforme. La pierre était par endroit recouverte de lichen et de mousse mais en regardant bien chaque statue était différente.
Je me surpris à avoir l'idée de toucher et observer de près chaque statue les unes après les autres, comme si je rencontrais des personnes, je parlais presque à voix haute.

Ensuite tout est vague, je suis sorti de la forêt en coupant droit devant moi, ne croisant aucune bête, une fois sorti je tombais sur le sol endormis ou on me trouva le lendemain.

Malgré mes explications et mon histoire personne ne me crut, à chaque fois que je revenais devant la forêt je ne savais plus ou aller. Pourtant je les sentais appeler et surtout souffrir. Mêmes mes amis se lassèrent de ma peur, j’étais à la fois dévoré par l’envie de rentrer dans la forêt et térrifié.

Chaque jour qui passait la forêt devint plus sombre et plus personne n’osait y aller, des loups et une multitude d’autres créatures en gardait en permanence les routes et ceux qui essayaient d’entrer ne revenaient jamais. Tant de choses dépendaient pourtant de la forêt, les baies qu’on pouvait ceuillir étaient non seulement fruité et délicieuse mais le seul remède contre une maladie rare qui frappait à intervalle réguiler. Le viande que nous chassions venait à manquer, le poisson des rivières et les fruits sauvages aussi.

Si bien qu’on monta une véritable expédition armée pour tenter de réunir tout cela. Et que je devait en être.

Vingt Hommes en tout pour venir à bout de la peur, fermant la marche mon cœur battait à l’idée de retourner en forêt, c’était comme franchir un mur sans savoir ce qu’il avait de l’autre coté. Au moment de franchir la limite de l’ombre je fermais les yeux, je les rouvrit un instant plus tard, plongé dans la stupéfaction.
Notre forêt était méconnaissable, les arbres semblaient tous malades, recouvert d’une mousse verte qui tombait au moindre contact, les rares animaux qui restaient ne se cachaient plus, dont une meute de loup qui nous regardait avec curiosité. Leurs yeux étaient injectés de sang et de l’écume sortait de leurs bouches. Mais ils nous laissèrent avancer sur le sentier.
Le sentiment d’oppression augmenta de seconde en seconde, aux moindres craquement moi ou mes compagnons bondissions et toute la colonne s’arrêtait, figée. Pourtant on nous poussait, derrière nous le mur formait une barrière totalement opaque qui avancait avec nous, le jour avait totalement disparut ainsi que la porte taillé pour laisser passer la colonne. L’air devint humide et chaud, presque suffocant, des moustiques nous harcelaient et les loups nous suivaient toujours.
Je me retournais souvent pour vérifier ou était les loups et soudain un loup qui ne semblait pas malade attira mon attention si bien que je le cherchais du regard un instant et alors que je revenais en avant, tout le monde avait disparus.

Immobile et tremblant je ne savais plus quoi faire, je voulais une nouvelle fois prendre la fuite mais je ne savais même pas par ou, sous mes pieds le sentier avait disparut, j’avais du marcher en révant bien plus longtemps que je le pensais ou m’en souvenais.
Pressé par la nécessité je marchais donc au hasard dans la forêt, en fait pas au hasard, plus le temps passait plus je me souvenais, dans mon esprit se déroulait le déroulement des évenemens passés, je n’avais plus peur et je marchais d’un pas sure. Ce fut sans surprise que je découvrais à nouveau la clairière.
Elles n’avaient pas changée et l’impression de calme et de sérénité qui regnait remplissait toujours le lieu, comme un sanctuaire.
Me placant au milieu du cercle je tournais plusieurs fois en scrutant chaque statue, près à les voir bouger ou parler, je m’arrêtais devant celle que j’avais touché la première fois et posais à nouveau la main à sa surface.
Mon esprit me fut arraché, je fut projeté à plusieurs lieux de la et observait de haut, depuis les yeux d’un arbre une cohorte d’Humain progresser dans la forêt. Et ce fut l’attaque, je criais hurlais mais je restais enfermé dans une épaisse prison mais rien mes ma douleur ni ma colère et une force m’obligea à garder les yeux ouvert et observer la tuerie, les loups, les ours, sangliers et autres créatures, jusqu’au plus petit écureil était la et attaquait ces Hommes, je pouvais sentir un grand sentiment de satisfaction et de vengeance accomplie au travers de l’arbre qui me servait de perchoir.
Finalement je fut renvoyé dans la clairière sous le regard inquisiteur des statues. Je mis pris à frapper celle qui était devant moi en pleurant. Je fis quelques pas et posais la main sur sa voisine sans faire attention, je fut à nouveau projeté au loin dans la conscience d’un autre arbre.
Il avait mal, térriblement mal et ce mal venait de ses pieds, une horde sans nombre d’être coupait et coupait du bois sans relache. L’arbre pleurait de mourir abattu de la sorte et maudissait ses tortionnaires, au moment ou il tomba sous les coups je sentis sa mort et je tombait sur la sylve.
Je restais à terre plusieurs minutes, à présent bien consciens qu’on voulait me délivrer un message. Cependant je n’avais pas reconnu ces êtres ni même pu juger qu’ils soient Humains, le désir de vengeance des arbres était tout sauf de la justice, juste une pulsation.

Lorsque je me reveillais le lendemain c’était une fois de plus en bordure de la forêt et c’était pour annoncer aux autres ce que j’avais vu. Je tu la façon dont j’avais été témoin de la scène et racontais avoir été assomé et surement compté comme mort. Je n’avais rien pour prouver mes dires mais l’absence des autres et les cris avaient été entendu depuis le village ce qui donnait assez de crédit à mon histoire.

De sombre la forêt devint ténébreuse et il n’était plus rare que des animaux complement fou en sorte pour tuer au hasard, un mois après la disparition des plus valheureux de nos gardes la situation était intenable.

Alors nous les avons vus. C’était eux mais sans leur raison. Des patins asservis au corps décharné et mutilé, au facièsse ideux et aux grognement inepte. Ils étaient peu nombreux et le feu semblait les éloigner mais rien ne pouvait les tuer. Les armes transpercaient leur corps mais ils étaient toujours debout mordant ou griffant. L’horreur atteignit son paraxomisme, enfin on pu le pense quand les visages qui au début étaient inconnus prirent la force de nos anciens villageois. Nos amis transformés comme ennemis la plus part d’entre nous perdit toute volonté de combattre, si bien que je ne pu que proposer la fuite, vers la forêt.

Cette même barrière qui nous bloquait pouvait aussi nous sauver car ils s’en tenaient éloignés, ces pantins, ces morts non morts, ces choses ne l’approchait pas et pourtant certains en venait.

Oui la fuite, peu de monde s’opposa à mon idée car nous étions encerclé et sans aide, tout le monde prit de quoi ce battre et ce fut la fuite.
Combien d’ames rejoignis leur rang, combien de coprs déchiré se relèverent pour le prix de cette folie, Femme Homme ou Enfant quiconque était mordu ou bléssé puis touché par leur sang, par cette peste galopante se relevait les yeux fous et nous attaquait.
Ce fut pourtant à ce prix de la majorité d’entre nous gagna la forêt ou les attaques des morts césserent pour laisser la place aux loups.
Toujours la eux aussi, rongé par un mal qui ne semblait pas enviable, je guidais pourtant la troupe vers la clairière à petit pas.
Ce fut un long cortège, mellé de crainte et au gout encore baigné du sang frais de la bataille, mais c’est aussi au prix de la folie que je retrouvais finalement les gardiens.

Inébranlable elles étaient toujours la, tout le monde regarda avec inquiétude ces statues de pierre aux pouvoirs ancestraux et incalculables. J’expliquais comment en touchant la pierre on pouvait voyager dans la pensée des arbres mais personne ne s’y tenta. Je fut pourtant irrésistiblement appelé par cette statue, une Femme maintenant j’en étais sure qui m’appelais, j’appuyais donc à nouveau ma main paume ouverte sur la surface de granit.
L’arbre était gigantesque et occupait le sommet d’une colline, il voyait tout aussi loin que cela était possible et pour un Homme c’était considérablement loin. Je pouvais voir des nuées noirs envahir la forêt arbres après arbres, c’était comme un tapis qui se déroulait lentement, dans le ciel des nuages noirs avancaient également malgré un fort vent contraire, la nature tout entière essayait de combattre. Et pourtant derrière la nuit venait une pale lueur, étouffée mais bien présente mais même l’arbre ne savait voir au travers de la nuit qui s’étendait inéxorablement à ses pieds.

Je retombais sur le sol dans la clairière, incapable de penser ou de savoir quoi faire, ma mine devait faire peur à voir, les autres s’étaient regroupés et me regardait, éffrayés.

Et la nuit fut sur nous. Chaque nuit l’un d’entre nous disparaissait, hapé à travers le mur de feuilles et de fougères. Nous nous accusions les uns les autres, il ne fallut pas longtemps avant que le sang coule. Mes propres mains furent rougies, en ayant voulut prendre la défense d’une enfant qu’on voulait tuer plutot que d’abandonner aux morts je m’étais interposé, la lame avait tranchée le corps avec une impresionnante facilité. Ce fut une sensation étrange, un sentiment de puissance avoir le pouvoir de vie et de mort, je devenais fou et aucun gardien ne me parlait plus.

Quel secret gardait ces pierres ? Etaient t’elle des instruments de la nuit elles aussi ? Elles me regardaient et me jugeait, et même si leurs paroles sonnaient juste dans ma tête je ne pouvais pas les accepter.

Elles avaient un but, elles m’avaient choisi moi pour l’accomplir mais je ne comprenais pas ou ne voulais pas comprendre.

Je n’avais jamais vraiment réussis à trouver le sommeil depuis, le rêve que je faisais ce déroulait maintenant même eveillé, dans ce rêve j’étais un Homme qui tentait de sauver les siens, cet Homme était juste et aurait donné sa vie en l’échange d’une autre. A la place se tenait un Homme certe mais un meurtrier, depuis ce jour je n’avais pas pu m’arrêter, chaque nuit je tuais, avec à chaque fois plus de sauvagerie, après chaque mort il me restait pourtant assez de mon ame pour écrire mon histoire sur ce carnet.

Ce soir c’est la sanssaint, si un jour on m’avait dit que ces histoires que l’on raconte, ces histoires inventés prendraient forme jamais je n’aurais pu le croire.

Lecteur si tu lit cette histoire pardonne à son auteur, il est surement trop tard, devait moi il n’y a plus que deux survivants, deux enfants, ma volonté de ne pas les tuer facillera surement à la faveur de la nuit. Quoi qu’il fasse toujours nuit ces derniers jours.

Assis le dos appuyé sur une statue je fut arraché à la terre une derrière fois, pour retourner dans le grand arbre au sommet de la colline, il faisait nuit tout autour de lui, c’était le dernier debout, tous ses frères, toutes ses sœurs étaient tombés sous le tapis de de nuit sauf lui. Plus aucun animal ne l’écoutait, plus aucune source ne propagait sa sagesse, il ne restait au monde que neuf statues de pierre pour écouter sa douleur et sa haine. Neuf statues de pierre pour l’accompagner dans l’ombre. Et pourtant il semblait avoir un espoir, un espoir de fou, l’arbre montra les morts et les sacrifices consenti, il montra une cage créé pour acceuillir une ame, une cage que les pierres avaient aidés à créer, puis la forêt qui devenait folle sous l’emprise de la colère, les arbres qui perdaient ou leurs ames ou la vie. Et l’ame qu’ils avaient choisies pour les sauver qui prenait place. Mais ce n’était pas moi, ma tache était différente.

Alors que l’arbre se préparait à se sacrifier je m’arrachais de moi même à la domination de la pierre et retrouvais mon corps. Je saisi mon poignard et me taillais sans attendre les veines sous les yeux térrifiés des enfants, puis conscencieusement je répendais mon sang sur chacune des neufs statues. Je ne tentais même pas d’endiguer le flot une fois la tache accomplie et me laissais mourir sur l’herbe déjà tachée du sang de ceux qui comme moi avait été des Hommes.

Ce soir c’était la sanssaint et pour en finir avec la folie j’avais choisi la mort.

Lecteur si tu lit ce journal pardonne son auteur, je n’ai plus aujourd’hui aucun remors ni doute, et pourtant je pense et pourtant je ne suis pas mort.

Ni comme eu ni totalement différent, je suis devenu .. autre chose, l’un de ses nombreux pantins mais avec mes souvenirs avec mes douleurs.

Je me souviens m’être relevé au milieu de la clairière, avoir pris une arme et les avoir tué, comme une bête sauvage je me souviens m’être repu de leurs entrailles et d’avoir contempler mon œuvre. Sur chaque statue le sang versé tracait des signes impie dont je n’avais pas même la connaissance tout en étant l’auteur et dans ma tête circulait le murmure de mon nouveau maitre.

Ce soir la c’était la sanssaint …

Toi qui lit ce journal pardonne son auteur. Il n’y avait aucun espoir. On ne peut pas lutter contre la mort.

Quand à mon role il est simple, je suis un messager, le messager qui trouva la mort pour transmettre son message, j’irais jusque devant son throne si il le faut pour le lui donner. Devant mon maitre, ce roi liche et il tremblera de savoir sa guerre entaché par l’espoir.

Ce soir la c’était la sanssaint.

Toi qui trouve ce journal pardonne son auteur.
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Enjel
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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeJeu 18 Oct - 23:36

mais ou puises-tu cette inspiration...?
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Mélyan
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Mélyan


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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeMer 24 Oct - 9:10

Je ne sais pas trop, ac vient comme ca, une fois penché sur mon clavier avec des idées ca vient ... ^^

Bon j'ai envoyé mon texte aujourd'hui.

Finalement je n'ai pas touché le fond, il est bien comme ca.

Le voici pour vous dans sa version final corrigé. Merci à Fraggle de m'avoir entièrement relue Smile
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Mélyan
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Mélyan


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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeMer 24 Oct - 9:10

Les neufs gardiens.

La forêt changeait, tout changeait, signe de l’arrivée d’une peur sans nom, il était devenu dangereux de s’attarder sous la voûte des arbres après la nuit, j’aurais du m’en souvenir …

Je n’y avait pas prêté attention, concentré dans ma tache, la nuit était tombé sans prévenir, le froid s'infiltrait entre les arbres, quand mon esprit toucha à nouveau terre il était trop tard. Je ramassais rapidement mes affaires, ma hache et mon fourre tout et me préparais une nouvelle fois à courir dans les bois. Un hurlement se fit entendre, encore lointain mais qui résonnait dans toute la forêt, après un court silence ce fut tout un concert, ils se répondaient les uns aux autres.

Paniqué je me mis à courir, le chemin je le connaissais par coeur mais le temps était compté. Je courrais, sans me retourner, butant plusieurs fois sur des racines enfouit sous la mince couche de feuille et invisible dans la pénombre. Je courrais, bientôt trempé de sueur, je me sentais rejoins, ils n'étaient plus loin.

Deux yeux à gauche, je les avais vues, je ne rêvais pas le souffle rauque je me retournais, ils étaient partout, je chutais violemment sur le sol mes pieds étaient pris dans des ronces, en essayant de m'extirper je me griffais et déchirais mes habits, de nombreux sillons vermeil commencèrent à perler sur mes jambes.

Je courrais encore, plusieurs minutes plus tard, totalement perdu et désorienté. Je me rappel juste être tombé une nouvelle fois, et épuisé, avec le goût du sang dans la bouche, j'attendais qu'ils arrivent et me tue.

Une heure peut être je ne sais pas, mais le temps ce déroula à une lenteur affreuse qui rendait l'arrivée de la mort encore plus insoutenable. Puis comme je ne mourrais pas je me risquais à relever la tête.

C'était une clairière plongée dans la pale lueur de la lune, j'étais tombé à son auré. Et mon regard ce porta immédiatement sur elles.

Neuf statues de pierre étaient disposées en cercle au centre. Toujours couché au sol je me relevais doucement, en jetant un regard vers les sous bois. Aucun bruit ni signe n'en sortait. Pourtant je n'avais pas rêvé.

Titubant je m'approchais de la pierre la plus proche. Elle était vieille lavé par le temps, on aurait dit un simulacre humain avec une esquisse de corps, des bras le long du torse et une tête difforme. La pierre était par endroit recouverte de lichen et de mousse mais en regardant bien chaque statue était différente.

Je me surpris à avoir l'idée de toucher et observer de près chaque statue les unes après les autres, comme si je rencontrais des personnes, je parlais presque à voix haute.

Ensuite tout est vague, je suis sorti de la forêt en coupant droit devant moi, ne croisant aucune bête, une fois sorti je tombais sur le sol endormis ou on me trouva le lendemain.

Malgré mes explications et mon histoire personne ne me crut, à chaque fois que je revenais devant la forêt je ne savais plus ou aller. Pourtant je les sentais appeler et surtout souffrir. Mêmes mes amis se lassèrent de ma peur, j’étais à la fois dévoré par l’envie de rentrer dans la forêt et terrifié.


Chaque jour qui passait la forêt devint plus sombre et plus personne n’osait y aller, des loups et une multitude d’autres créatures en gardait en permanence les routes et ceux qui essayaient d’entrer ne revenaient jamais. Tant de choses dépendaient pourtant de la forêt, les baies qu’on pouvait cueillir étaient non seulement fruitées et délicieuse mais le seul remède contre une maladie rare qui frappait à intervalle régulier. La viande que nous chassions venait à manquer, le poisson des rivières et les fruits sauvages aussi.

Si bien qu’on monta une véritable expédition armée pour tenter de réunir tout cela. Et que je devais en être.

Vingt Hommes en tout pour venir à bout de la peur, fermant la marche mon cœur battait à l’idée de retourner en forêt, c’était comme franchir un mur sans savoir ce qu’il avait de l’autre coté. Au moment de franchir la limite de l’ombre je fermais les yeux, je les rouvrit un instant plus tard, plongé dans la stupéfaction.

Notre forêt était méconnaissable, les arbres semblaient tous malades, recouvert d’une mousse verte qui tombait au moindre contact, les rares animaux qui restaient ne se cachaient plus, dont une meute de loup qui nous regardait avec curiosité. Leurs yeux étaient injectés de sang et de l’écume sortait de leurs bouches. Mais ils nous laissèrent avancer sur le sentier.
Le sentiment d’oppression augmenta de seconde en seconde, aux moindres craquements moi ou mes compagnons bondissions et toute la colonne s’arrêtait, figée. Pourtant on nous poussait, derrière nous le mur formait une barrière totalement opaque qui avançait avec nous, le jour avait totalement disparut ainsi que la porte taillé pour laisser passer la colonne. L’air devint humide et chaud, presque suffocant, des moustiques nous harcelaient et les loups nous suivaient toujours.

Je me retournais souvent pour vérifier ou était les loups et soudain un loup qui ne semblait pas malade attira mon attention si bien que je le cherchais du regard un instant et alors que je revenais en avant, tout le monde avait disparus.

Immobile et tremblant je ne savais plus quoi faire, je voulais une nouvelle fois prendre la fuite mais je ne savais même pas par ou, sous mes pieds le sentier avait disparut, j’avais du marcher en rêvant bien plus longtemps que je le pensais ou m’en souvenais.
Pressé par la nécessité je marchais donc au hasard dans la forêt, en fait pas au hasard, plus le temps passait plus je me souvenais, dans mon esprit se déroulait le déroulement des événement passés, je n’avais plus peur et je marchais d’un pas sure. Ce fut sans surprise que je découvrais à nouveau la clairière.
Elles n’avaient pas changée et l’impression de calme et de sérénité qui régnait remplissait toujours le lieu, comme un sanctuaire.
Me plaçant au milieu du cercle je tournais plusieurs fois en scrutant chaque statue, près à les voir bouger ou parler, je m’arrêtais devant celle que j’avais touché la première fois et posais à nouveau la main à sa surface.
Mon esprit me fut arraché, je fut projeté à plusieurs lieux de la et observait de haut, depuis les yeux d’un arbre une cohorte d’Humain progresser dans la forêt. Et ce fut l’attaque, je criais hurlais mais je restais enfermé dans une épaisse prison mais rien mes ma douleur ni ma colère et une force m’obligea à garder les yeux ouvert et observer la tuerie, les loups, les ours, sangliers et autres créatures, jusqu’au plus petit écureuil était la et attaquait ces Hommes, je pouvais sentir un grand sentiment de satisfaction et de vengeance accomplie au travers de l’arbre qui me servait de perchoir.
Finalement je fus renvoyé dans la clairière sous le regard inquisiteur des statues. Je mis pris à frapper celle qui était devant moi en pleurant. Je fis quelques pas et posais la main sur sa voisine sans faire attention, je fus à nouveau projeté au loin dans la conscience d’un autre arbre.
Il avait mal, terriblement mal et ce mal venait de ses pieds, une horde sans nombre d’être coupait et coupait du bois sans relâche. L’arbre pleurait de mourir abattu de la sorte et maudissait ses tortionnaires, au moment où il tomba sous les coups je sentis sa mort et je tombais sur la sylve.
Je restais à terre plusieurs minutes, à présent bien conscient qu’on voulait me délivrer un message. Cependant je n’avais pas reconnu ces êtres ni même pu juger qu’ils soient Humains, le désir de vengeance des arbres était tout sauf de la justice, juste une pulsation.

Lorsque je me réveillais le lendemain c’était une fois de plus en bordure de la forêt et c’était pour annoncer aux autres ce que j’avais vu. Je tu la façon dont j’avais été témoin de la scène et racontais avoir été assommé et sûrement compté comme mort. Je n’avais rien pour prouver mes dires mais l’absence des autres et les cris avaient été entendu depuis le village ce qui donnait assez de crédit à mon histoire.

De sombre la forêt devint ténébreuse et il n’était plus rare que des animaux complément fou en sorte pour tuer au hasard, un mois après la disparition des plus valeureux de nos gardes la situation était intenable.

Alors nous les avons vus. C’était eux mais sans leur raison. Des patins asservis au corps décharné et mutilé, au faciès hideux et aux grognements ineptes. Ils étaient peu nombreux et le feu semblait les éloigner mais rien ne pouvait les tuer. Les armes transperçaient leur corps mais ils étaient toujours debout mordant ou griffant. L’horreur atteignit son paroxysme, enfin on pu le penser quand les visages qui au début étaient inconnus prirent la force de nos anciens villageois. Nos amis transformés comme ennemis la plus part d’entre nous perdit toute volonté de combattre, si bien que je ne pu que proposer la fuite, vers la forêt.

Cette même barrière qui nous bloquait pouvait aussi nous sauver car ils s’en tenaient éloignés, ces pantins, ces morts non morts, ces choses ne l’approchait pas et pourtant certains en venaient.

Oui la fuite, peu de monde s’opposa à mon idée car nous étions encerclé et sans aide, tout le monde prit de quoi ce battre et ce fut la fuite.
Combien d’âmes rejoignirent leur rang, combien de corps déchiré se relevèrent pour le prix de cette folie, Femme Homme ou Enfant quiconque était mordu ou blessé puis touché par leur sang, par cette peste galopante se relevait les yeux fous et nous attaquait.
Ce fut pourtant à ce prix que la majorité d’entre nous gagna la forêt ou les attaques des morts cessèrent pour laisser la place aux loups.
Toujours la eux aussi, rongé par un mal qui ne semblait pas enviable, je guidais pourtant la troupe vers la clairière à petit pas.
Ce fut un long cortège, mêlé de crainte et au goût encore baigné du sang frais de la bataille, mais c’est aussi au prix de la folie que je retrouvais finalement les gardiens.

Inébranlable elles étaient toujours la, tout le monde regarda avec inquiétude ces statues de pierre aux pouvoirs ancestraux et incalculables. J’expliquais comment en touchant la pierre on pouvait voyager dans la pensée des arbres mais personne ne s’y tenta. Je fut pourtant irrésistiblement appelé par cette statue, une Femme maintenant j’en étais sure qui m’appelais, j’appuyais donc à nouveau ma main paume ouverte sur la surface de granit.
L’arbre était gigantesque et occupait le sommet d’une colline, il voyait tout aussi loin que cela était possible et pour un Homme c’était considérablement loin. Je pouvais voir des nuées noires envahir la forêt arbres après arbres, c’était comme un tapis qui se déroulait lentement, dans le ciel des nuages noirs avançaient également malgré un fort vent contraire, la nature tout entière essayait de combattre. Et pourtant derrière la nuit venait une pale lueur, étouffée mais bien présente mais même l’arbre ne savait voir au travers de la nuit qui s’étendait inexorablement à ses pieds.

Je retombais sur le sol dans la clairière, incapable de penser ou de savoir quoi faire, ma mine devait faire peur à voir, les autres s’étaient regroupés et me regardaient, effrayés.

Et la nuit fut sur nous. Chaque nuit l’un d’entre nous disparaissait, happé à travers le mur de feuilles et de fougères. Nous nous accusions les uns les autres, il ne fallut pas longtemps avant que le sang coule. Mes propres mains furent rougies, en ayant voulut prendre la défense d’une enfant qu’on voulait tuer plutôt que d’abandonner aux morts je m’étais interposé, la lame avait tranchée le corps avec une impressionnante facilité. Ce fut une sensation étrange, un sentiment de puissance avoir le pouvoir de vie et de mort, je devenais fou et aucun gardien ne me parlait plus.

Quel secret gardait ces pierres ? Etaient t’elle des instruments de la nuit elles aussi ? Elles me regardaient et me jugeait, et même si leurs paroles sonnaient juste dans ma tête je ne pouvais pas les accepter.

Elles avaient un but, elles m’avaient choisi moi pour l’accomplir mais je ne comprenais pas ou ne voulais pas comprendre.

Je n’avais jamais vraiment réussis à trouver le sommeil depuis, le rêve que je faisais ce déroulait maintenant même éveillé, dans ce rêve j’étais un Homme qui tentait de sauver les siens, cet Homme était juste et aurait donné sa vie en l’échange d’une autre. A la place se tenait un Homme certes mais un meurtrier, depuis ce jour je n’avais pas pu m’arrêter, chaque nuit je tuais, avec à chaque fois plus de sauvagerie, après chaque mort il me restait pourtant assez de mon âme pour écrire mon histoire sur ce carnet.

Ce soir c’est la sanssaint, si un jour on m’avait dit que ces histoires que l’on raconte, ces histoires inventés prendraient forme jamais je n’aurais pu le croire

Lecteur si tu lit cette histoire pardonne à son auteur, il est sûrement trop tard, devant moi il n’y a plus que deux survivants, deux enfants, ma volonté de ne pas les tuer vacillera sûrement à la faveur de la nuit. Quoi qu’il fasse toujours nuit ces derniers jours.

Assis le dos appuyé sur une statue je fut arraché à la terre une derrière fois, pour retourner dans le grand arbre au sommet de la colline, il faisait nuit tout autour de lui, c’était le dernier debout, tous ses frères, toutes ses sœurs étaient tombés sous le tapis de nuit sauf lui. Plus aucun animal ne l’écoutait, plus aucune source ne propageait sa sagesse, il ne restait au monde que neuf statues de pierre pour écouter sa douleur et sa haine. Neuf statues de pierre pour l’accompagner dans l’ombre. Et pourtant il semblait avoir un espoir, un espoir de fou, l’arbre montra les morts et les sacrifices consenti, il montra une cage créé pour accueillir une âme, une cage que les pierres avaient aidés à créer, puis la forêt qui devenait folle sous l’emprise de la colère, les arbres qui perdaient ou leurs âmes ou la vie. Et l’âme qu’ils avaient choisies pour les sauver qui prenait place. Mais ce n’était pas moi, ma tache était différente.

Alors que l’arbre se préparait à se sacrifier je m’arrachais de moi même à la domination de la pierre et retrouvais mon corps. Je saisi mon poignard et me taillais sans attendre les veines sous les yeux terrifiés des enfants, puis consciencieusement je répandais mon sang sur chacune des neufs statues. Je ne tentais même pas d’endiguer le flot une fois la tache accomplie et me laissais mourir sur l’herbe déjà tachée du sang de ceux qui comme moi avait été des Hommes.

Ce soir c’était la sanssaint et pour en finir avec la folie j’avais choisi la mort.

Lecteur si tu lit ce journal pardonne son auteur, je n’ai plus aujourd’hui aucun remords ni doute, et pourtant je pense et pourtant je ne suis pas mort.

Ni comme eux ni totalement différent, je suis devenu. Autre chose, l’un de ses nombreux pantins mais avec mes souvenirs avec mes douleurs.


Je me souviens m’être relevé au milieu de la clairière, avoir pris une arme et les avoir tué, comme une bête sauvage je me souviens m’être repu de leurs entrailles et d’avoir contempler mon œuvre. Sur chaque statue le sang versé traçait des signes impie dont je n’avais pas même la connaissance tout en étant l’auteur et dans ma tête circulait le murmure de mon nouveau maître.

Ce soir la c’était la sanssaint …

Toi qui lis ce journal pardonnes son auteur. Il n’y avait aucun espoir. On ne peut pas lutter contre la mort.

Quand à mon rôle il est simple, je suis un messager, le messager qui trouva la mort pour transmettre son message, j’irais jusque devant son trône si il le faut pour le lui donner. Devant mon maître, ce roi liche et il tremblera de savoir sa guerre entachée par l’espoir.

Ce soir la c’était la sanssaint.

Toi qui trouves ce journal pardonnes son auteur.
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Mélyan
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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeJeu 1 Nov - 23:10

Et voila le résultat du concours :

Citation :
Ils se retrouvèrent et les récompenses furent données, ainsi parmi nos six plumes terrifiantes, voici le résultat du concours ! Le choix fut rude hélas même si le jury, composé d'Aelmanda et moi-même, faute d'autres intérressés, sommes tombés au final d'accord, sans s'influencer.

En quatrième position :

- Le pari de Gwann (horde - sans guilde)

Gwann a délaissé sa récompense au profit des orphelins d'Hurlevent, (pourtant nous avons des traducteurs et des donneurs de récompense côté horde^^), malgré tout, nous tenions à saluer sa participation, qui a démontré que même les non-mort ont de la ressource, texte néanmoins trop axé sur des termes HRP et gameplay.

En troisième position, ex-aequo :

- Le Mangno-0 de Serlenne (alliance - L'ordre Pourpre)
- Les neuf Gardiens de Mélyan Valsanson (alliance - Les comptoirs d'Hermès.)

Nous saluons leur imagination, et les idées bien que le style fut parfois confus, nous avons surtout pris en compte l'histoire en elle-même et les idées qui en ressortaient. Et il y en avait ! Un brin d'humour pour la gnomette, et des sueurs froides de la part de mélyan pour qui, je ne le cache pas, j'eus un gros coup de coeur. Les deux furent absentes et leur récompense est de 5 pièces d'or chacune, elles les recevront via messager.

En seconde position, ex-aequo :

- L'équarisseur d'auberge de saül Limon (horde - Sans guilde)
- Un choix difficile ? D'ulricko (Alliance - Duché Aarkonie)

Style efficace, partir d'une base pour nous emmener à une fin à laquelle nous ne serions pas attendu. Pas mal de frissons en perspective ! Néanmoins nous avons souligné avec humour la manière dont est perçu la terreur par ulricko, et vous comprendrez pourquoi quand le recueil verra le jour. Récompense donc de 15 pièces d'or chacun.

Et en première position :

- Le destin d'Eon de Maitselin (Alliance - Avalon)

Histoire prenante, style limpide mêlée à une efficacité et une chute à faire frémir dans les chaumières. Pas de doute, à l'unanimité elle remporta trente pièces d'or. Event à venir parait-il en lien avec cette histoire... Que les curieux comme moi se tiennent au courant !

Troisième ex-equo, on peut drire que je m'en tire bien Smile
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Alia'ane
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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeVen 2 Nov - 12:39

Bin, une place sur le podium avec une note perso des juges, moi je dis un gros GG !! /flex

Tu payes ta tournée avec ta prime ? ^^ Hi hi hi

Bisous
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fraggle
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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeVen 2 Nov - 22:06

ouep félicitations !!!!! cheers
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Enjel
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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeDim 4 Nov - 14:04

c'est clair !!! GG à toi!
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Mélyan
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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeLun 5 Nov - 15:24

Merci Smile

La prochaine nouvelle est en pleine gestation.

J'ai pas mal de mal à revenir sur les aventures de Diptsi et devrait donc pondre un truc totalement original avant peu.

Pour un peu le sac de noeud qui me sert de cerveau arrive à se lancer.

Et merci encore pour vos encouragements :p
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Mélyan
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Mélyan


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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitimeLun 17 Déc - 9:53

Le receuil des nouvelles de la sanssaint est disponible à cette page :

http://www.lulu.com/content/1686351

Très très beau travail des orgas au passage pour avoir mis en ligne ca sous la forme d'un e-book téléchargeable.
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MessageSujet: Re: [Concours] Les nouvelles de la sanssaint   [Concours] Les nouvelles de la sanssaint Icon_minitime

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